วันจันทร์ที่ 12 พฤษภาคม พ.ศ. 2551

ระวัง! จะป่วยเพราะ "คอมพิวเตอร์"


ระวัง! จะป่วยเพราะ "คอมพิวเตอร์"
มนุษย์ไซเบอร์ฟังไว้ให้ดี คอมพิวเตอร์น่ะมีทั้งคุณอนันต์และโทษมหันต์นะจะบอกให้


คงจะเถียงไม่ได้เลยนะคะว่า ไม่ว่าจะเป็นวัยรุ่นหรือวัยไม่รุ่นในยุคสมัยนี้ ก็ต่างเป็นประชากรมนุษย์ไซเบอร์ด้วยกันทั้งนั้น ถึงแม้เราจะรู้ดีว่าคอมพิวเตอร์นั้นจจะให้คุณอนันต์ แต่ว่าคอมพิวเตอร์ก็มีโทษเหมือนกันได้เหมือนกันนะคะ

ล่าสุด ที่ทำให้ตกใจกันทั่วคือ เมื่อนักวิจัยชาวอังกฤษได้ทำการศึกษาและพบว่า คีย์บอร์ดคอมพิวเตอร์นั้น เป็นแหล่งสะสมของแบคทีเรียอันตรายมากกว่าโถสุขภัณฑ์ถึง 5 เท่า!!! และทำให้ผู้ใช้ท้องเสียโดยไม่รู้ตัว ไม่เพียงเท่านั้นยังมีอีกหลายโรคที่เกิดเพราะคอมพิวเตอร์

* ท้องร่วงเพราะคีย์บอร์ด

โรคที่ตั้งชื่อตามตัวอักษรชุดแรกบนแป้นคีย์บอร์ดว่า Qwerty Tummy อาจระบาดในที่ทำงานได้ หากว่าแป้นคีย์บอร์ดมีแบคทีเรีย ซึ่งเป็นต้นเหตุของโรคอาหารเป็นพิษ และผู้ใช้รับประทานอาหารไปพร้อมกับใช้งานคีย์บอร์ดเครื่องคอมพ์ด้วย

การศึกษาครั้งนี้ แสดงว่าคีย์บอร์ดเป็นแหล่งเพาะแบคทีเรียที่น่ากลัวด้วยคนทำงาน 1 ใน 10 ไม่เคยทำความสะอาดคีย์บอร์ด และ 20% ไม่เคยทำความสะอาดเมาส์ ขณะที่ 50% ไม่เคยทำความสะอาดคีย์บอร์ดภายในเวลาหนึ่งเดือน

นอกจากนี้ ด้วยรูปแบบการทำงานสมัยใหม่ ที่พนักงานต้องย้ายโต๊ะทำงานไปเรื่อยๆ ทำให้พวกเขาไม่มีทางรู้ว่า ใครใช้คีย์บอร์ดที่กำลังใช้อยู่และใช้งานอย่างไรบ้าง

ทางแก้ไขคือ ผู้ใช้เครื่องคอมพิวเตอร์จึงควรทำทั้งที่บ้านและที่ทำงานควรทำความสะอาดคีย์บอร์ดเป็นประจำไม่ให้เป็นแหล่งสะสมของเชื้อแบคทีเรีย วิธีการคือ ทำความสะอาดด้วยผ้าเนื้อนุ่มชุบน้ำหมาดๆ ที่สำคัญคือ อย่าลืมถอดปลั๊กคอมพิวเตอร์ก่อน

* โรคอื่นๆ อีกมากมาย

คอมพิวเตอร์จะไม่เป็นอันตราย หากว่าคุณไม่ใช้มันจนติดเป็นนิสัย ซึ่งหมายความว่า นั่งจมจ่อมอยู่หน้าเครื่องคอมพิวเตอร์เกือบจะตลอดวันและทุกวัน คนที่ใช้คอมพิวเตอร์บ้างเป็นบางครั้งคราวย่อมไม่ได้เจ็บป่วยเพราะคอมพิวเตอร์ แต่ทั้งนี้ทั้งนั้น แต่ละคนก็จะได้รับผลกระทบจากเครื่องใช้ไฮเทคนี้มาก-น้อยช้า-เร็วไม่เหมือนกัน หลายๆ อาการเจ็บป่วยจากคอมพิวเตอร์นั้น อาจจะเป็นสิ่งที่เรารู้กันดี แต่บางครั้งก็หลงลืม ลองมาทบทวนกันดูหน่อยดีไหม

ปวดตา : เพราะการใช้คอมพิวเตอร์ทำให้ตาต้องจ้องจอสว่างๆ จึงเป็นสาเหตุให้เกิดปัญหาเรื่องสุขภาพสายตา จึงควรระวังแสงที่จะส่องตรงมา โดยเฉพาะแสงจากด้านหลังของจอคอมพิวเตอร์ ควรให้แสงเข้ามาด้านข้าง (ด้านขวาก็จะดี) ถ้าเป็นไปได้ให้ติดแผ่นป้องกันรังสี รวมทั้งปรับความสว่างของจอให้เหมาะสมกับดวงตา การอยู่หน้าจอคอมพิวเตอร์เป็นเวลานาน ไม่เพียงทำให้เกิดอาการปวดตาเท่านั้น แต่อาจเป็นสาเหตุของโรคต้อหินในอนาคตด้วย โดยเฉพาะในหมู่ผู้ที่สายตาสั้น นอกจากนี้ จอคอมพิวเตอร์ที่สั่นไหว หรือเป็นคลื่นนั้นควรจะยกไปซ่อมซะ ควรละสายตาจากจอบ้างเป็นครั้งเป็นคราว กะพริบตาเป็นระยะ เพราะดวงตาของคุณต้องการความชุ่มชื้น

โรคเส้นประสาทบริเวณข้อมือถูกกดทับ : ปรับระดับความสูงของเก้าอี้หรือโต๊ะที่วางคอมพิวเตอร์ เพื่อให้ข้อศอกอยู่ในมุม 90-100 องศา วางคีย์บอร์ดให้เหมาะ เวลาใช้คีย์บอร์ดจะได้ไม่ต้องงอมือให้อยู่ในท่าที่ไม่สะดวกสบาย ควรวางข้อมือบนโต๊ะหน้าคีย์บอร์ดถ้าหากจำเป็น ควรพิมพ์คีย์บอร์ดและใช้เมาส์อย่างเบามือ ถ้ามีเวลาก็ออกกำลังกายข้อมือและนิ้วบ้าง หากสามารถทำงานด้วยวิธีการอื่นโดยไม่ใช้คอมพิวเตอร์ก็ลุกขึ้นจากโต๊ะและทำซะ

ปวดคอและหลัง : สำรวจท่านั่งเวลาทำงานของตัวเอง ควรนั่งตัวตรง ห่างจากจอคอมพิวเตอร์ประมาณ 18-24 นิ้ว เก้าอี้ที่ดีควรจะมีล้อ สามารถปรับพนักพิงได้ และต้องมีที่วางแขน โต๊ะควรจะมีพื้นที่ว่างสำหรับวางเครื่องมืออื่นๆ ในการทำงาน

และสุดท้ายที่อยากตระหนักกันให้มากคือ อันตรายคลื่นลูกใหม่ที่มาจากคลื่นแม่เหล็กไฟฟ้าและหลอดภาพของจอคอมพิวเตอร์ เมื่อเราเปิดเครื่องใช้ก็จะมีรังสีแผ่ออกมา จึงไม่ควรนั่งใกล้จอเกินไป โดยเฉพาะเวลาใช้แล็ปท็อปซึ่งทำให้เราต้องนั่งใกล้เครื่องมากกว่าพีซี ถ้าเป็นไปได้ให้ใช้แผ่นป้องกันรังสี หรือเลือกใช้จอคอมพิวเตอร์ที่ไม่แผ่พลังรังสีไฟฟ้าออกมา แม้ราคาจะแพงกว่า แต่ปลอดภัยกว่า หากไม่ใช้เครื่องก็ควรปิด โดยเฉพาะคอมพิวเตอร์ที่ตั้งอยู่ในห้องนอน

วันเสาร์ที่ 19 เมษายน พ.ศ. 2551

Mollusca


Les mollusques (du latin mollis, mou) sont un embranchement du règne animal. Les mollusques sont des animaux non segmentés (invertébrés), à symétrie bilatérale quelquefois altérée. Leur corps se compose généralement d'une tête, d'une masse viscérale, et d'un pied. La masse viscérale est recouverte en tout ou partie par un manteau, qui sécrète une coquille calcaire. Le système nerveux comprend un double collier périœsophagien. La cavité générale est plus ou moins réduite au péricarde et aux néphridies.

Dans la classification phylogénétique, les mollusques sont des métazoaires triploblastiques cœlomates (les termes "cœlomate", "acœlomate" et "pseudocœlomate" ont récemment été retirés de la classification) bilatériens protostomiens.

L'embranchement contient plus de 130 000 espèces dont certaines sont très fréquemment consommées par l'Homme.

Certains mollusques peuvent secréter des perles en recouvrant de nacre les éléments irritants qui s'introduisent dans leur coquille.

Caractères généraux
Bien que descendant probablement des annélides, la plupart des mollusques ont perdu toutes traces de métamérisation. Ils ont une symétrie bilatérale, mais qui peut être altérée par une torsion du corps.

Leur tégument est mou. Il contient de nombreuses glandes qui sécrètent du mucus.

Les mollusques sont des cœlomates, mais leur cœlome se limite à un péricarde, c'est-à-dire que le cœur est situé dans une cavité creusée dans du tissu d’origine mésodermique. La cavité générale des mollusques est plus ou moins oblitérée par du tissu conjonctif, à l'exception d'une partie qui enveloppe le cœur (péricarde) et d'une autre partie, en relation avec les deux autres, qui constitue les organes excréteurs (néphridies).

Évolution
Les mollusques descendraient d'une organisation de type "ver". On pense qu'ils descendent des Annélides de par les traces de métamérie découvertes chez les Monoplacophores. On estime leur apparition à au moins 500 Ma à partir d'un ancêtre commun (radiation adaptative).

La fonctionnalité qui semble avoir conditionné les mollusques primitifs paraît être la radula: un organe fonctionnant comme une râpe, sorte de langue porteuse de dents chitineuses, qui permet à l'animal de se nourrir plus efficacement. Par rapport aux "vermiformes" primitifs, qui ne peuvent que gober une nourriture fragmentaire, la radula donne un avantage adaptatif, dans la mesure où elle permet d'arracher de la nourriture sur des proies cohérentes (éponges, algues, ...). Les mollusques ont ainsi inventé l'art de brouter.

L'autre fonctionnalité caractéristique des mollusques est le blindage, permettant de se protéger de prédateurs actifs: l'acquisition de plaques calcaires protégeant le dos. Ces mollusques primitifs devaient donc ressembler à des polyplacophores (une sorte d'escargot qui peut se rouler en boule comme un hérisson ou un cloporte), mais ce type est à présent très marginal.

En s'adaptant à différentes formes de vie, ils ont progressivement conquis tous les types de milieu: surtout présents en milieu marin, les Gastéropodes et les Bivalves ont ensuite réussi à s'adapter à l'eau douce. Dans leur radiation adaptative, les mollusques ont donné naissance aux classes importantes suivantes

Les gastéropodes (escargots, limaces, patelles …) continuent à ramper, et se caractérisent par une céphalisation plus avancée. La seule innovation que leur a apportée l'évolution est que cette reptation se fait sur un organe spécialisé, le pied. Les plaques calcaires de la carapace primitive se sont simplifiées au fil du temps, ce qui a conduit à ces coquillages généralement spiralés. Quelques Gastéropodes ont conquis les milieux terrestres vers la fin du Crétacé. Il se pourrait d'ailleurs qu'ils soient les premiers animaux à être sortis de l'eau. Leur adaptation au milieu terrestre n'est pas encore totalement aboutie.
Les bivalves (moules, huîtres …) sont devenus sédentaires, et misent sur la protection que leur apporte la coquille calcaire, au point de ne pratiquement plus se déplacer. Leur mode de vie se rapproche de celui des anémones, voire des éponges, consistant à filtrer l'eau ambiante. Dans cette évolution, ils ont perdu leur tête, devenue inutile, et les yeux ne sont plus présents que sous forme dégénérée, dans quelques espèces. Les bivalves constituent un cas intéressant où une régression fonctionnelle (perte du déplacement propre aux structures vermiformes) se traduit par un succès évolutif.
Les céphalopodes (poulpes, calmars, seiches …) ont appris à nager, et sont des prédateurs. La capacité d'attraper des proies qui peuvent chercher à s'échapper met une contrainte évolutive forte sur ce qui caractérise ce groupe: de bons yeux, et un cerveau performant capable de coordonner les mouvements de chasse. La coquille commune des invertébrés, que l'on retrouve chez l'argonaute, tend à se profiler en pointe, se réduire comme chez la seiche, voire disparaître totalement comme chez le poulpe.
On remarquera que les bivalves et les céphalopodes ont perdu leur radula, caractère qui avait été la cause de l'explosion radiative initiale des mollusques.

วันจันทร์ที่ 24 มีนาคม พ.ศ. 2551

Télévision


Le terme télévision regroupe l'ensemble des technologies, techniques et métiers destinés à produire, diffuser, recevoir des émissions ou films (fiction ou documentaire). La transmission, de ces émissions de télévision peut se faire par ondes radioélectriques ou par réseau câblé. Elles sont reçues et transcrites sur un poste récepteur appelé téléviseur (ou, par abus de langage, télévision), au fur et à mesure de la réception.

Les premières étapes de la vision à distance par l'électricité ont été les télectroscopes. La télévision, telle qu'on la connaît aujourd'hui, est également tributaire d'un réseau économique (publicité, redevance), politique et culturel (langues nationales ou régionales, genres et formats).

Histoire de la télévision
Les techniques de télévision
La télévision est un moyen de diffuser par un courant électrique (ligne) ou par une onde (voie hertzienne), de manière séquentielle, les éléments d'une image analysée point par point, ligne après ligne. À l'origine, un mécanisme permet l'exploration d'un ensemble de cellules photoélectriques (mosaïque). Plus tard, le balayage (scanning) de la mosaïque s'effectue par un mince faisceau d'électrons (analyse cathodique) et la première mosaïque composée d'éléments de sélénium est décrite, en 1877, par George R. Carey (Boston, États-Unis).

Inspiré par le Pantélégraphe de Caselli (1856)[1], le principe du balayage apparaît en 1879, dans un projet de « télectroscope » de Constantin Senlecq, notaire dans le Pas-de-Calais : un mécanisme de pantographe explore la face arrière d'un verre dépoli sur lequel est projetée l'image d'un objet.

En 1884, l'ingénieur allemand Paul Nipkow dépose un brevet de « télescope électrique » (Elektrische Teleskop). Un disque, percé à sa périphérie de trous disposés selon une spirale centripète, analyse en tournant les brillances d'une ligne de l'image transmise par un objectif. Le décalage des trous permet de passer d'une ligne à l'autre. Dans ces divers cas, le caractère réversible de chacun des procédés doit assurer la reproduction de l'image.

En 1891, Raphael Eduard Liesegang publie l'ouvrage : Beiträge zum Problem des electrischen Fernsehens (Contribution sur la question de la télévision électrique). L'ouvrage R.W. Burns, Television, an international history of the formative years, The Institution of Electric Engineers, London, 1998 ne mentionne pas Liesegang mais il dit que Rosing (cité ci-dessous) reconnaît sa dette envers lui.

En 1907, le russe Boris Rosling dépose un brevet qui propose d'utiliser un tube cathodique perfectionné en 1898 par Ferdinand Braun, pour reproduire une image analysée par des moyens électromagnétiques. L'année suivante un Anglais, Campbell-Swinton, propose l'utilisation du tube cathodique à l'analyse et à la reproduction de l'image. Aucun de ces projets ne mentionne la reproduction du mouvement.

Ces projets conduisent un Russe émigré aux États-Unis, Vladimir Zworykin, à déposer en 1923 un brevet de télévision « tout électronique » (all electronic), alors qu'en Grande Bretagne Logie Baird obtient une licence expérimentale en 1926 pour son televisor[2]. Les années trente allaient alors être marquées par des tentatives diverses d'émissions en Europe (surtout la BBC en Grande-Bretagne) et aux États-Unis mais la bataille entre les différentes licences et techniques utilisées d'une part et la Deuxième Guerre mondiale d'autre part, allaient retarder l'avènement de la télévision comme média populaire.

Les États-Unis, sortants grands gagnants de la guerre, furent les premiers à imposer une normalisation technique qui permit une progression rapide des stations d'émission et une progression fulgurante du parc de récepteurs (30 000 en 1947, 157 000 en 1948, 876 000 en 1949, 3,9 millions en 1952[3]). "L'année 1949 est [alors] celle de l'explosion. La grille des programmes de l'automne abonde en émissions en tous genres, annonciatrices de ce que nous pouvons voir à l'écran aujourd'hui : fictions comiques et dramatiques, théâtre, films, sport et, bien sûr, variétés et jeux de connaissance générale richement dotés"[4].

En 1957, le pape Pie XII proclama que Claire d'Assise était la sainte patronne de la télévision.

วันอาทิตย์ที่ 10 กุมภาพันธ์ พ.ศ. 2551

ประชากรไทย

รู้ไหม...สํานักทะเบียนกลาง กรมการปกครอง เขาทำรวบรวมจำนวนประชากรทั่วประเทศไทย โดยแยกเป็น กรุงเทพมหานครและจังหวัดต่างๆ ตามหลักฐานทะเบียนราษฎร ณ วันที่ 31 ธันวาคม 2550 ลงประกาศในราชกิจจานุเบกษา เมื่อวันที่ 5 กุมภาพันธ์นี้ ไปแล้วนะ






อยากรู้ ! ประชากรทั้งหมดในประเทศไทย ณ สิ้นปี 2550 มีทั้งหมดเท่าไหร่ แล้วประชากรชายหรือหญิง ที่มีเยอะกว่ากัน?

ตอบได้ ! ประชากรทั้งหมดทั่วประเทศ มีทั้งหมด 63,038,247 คน แบ่งเป็น ชาย 31,095,942 คน หญิง 31,942,305 คน สรุปโดยรวม ผู้หญิง มีจำนวนมากกว่า ผู้ชาย นะจ๊ะ

อยากรู้ ! แล้วจังหวัดอะไร มีจำนวนคนเยอะที่สุด?

ตอบได้ ! ไม่ต้องสงสัยเลย ต้องเป็นกรุงเทพมหานคร เมืองหลวงอันฟู่ฟ่า อยู่แล้ว โดยมีจำนวนประชากรมากถึง 5,716,248 คน แบ่งเป็น ชาย 2,727,574 คน หญิง 2,988,674 คน รองลงมา คือ นครราชสีมา เมืองย่าโมของเรา มีทั้งสิ้น 2,552,894 คน ชาย 1,264,118 คน หญิง 1,288,776 คน และอุบลราชธานี 1,785,709 คน ชาย 895,369 คน หญิง 890,340 คน

อยากรู้ ! ว่าแต่.. แล้วจังหวัดอะไร คนอยู่น้อยที่สุดล่ะ?

ตอบได้ ! จ.สมุทรสงคราม มีจำนวนประชากรทั้งสิ้นเพียง 194,212 คน แบ่งเป็นชาย 93,526 คน หญิง 100,686 คน ต่อมาคือ สิงห์บุรี 215,653 คน ชาย 103,166 คน หญิง 112,487 คน และ ตราด 220,543 คน ชาย 110,876 คน หญิง 109,667 คน

อยากรู้ ! แล้ว 4 จังหวัดชายแดนภาคใต้ อย่างเช่น ยะลา สงขลา ปัตตานี นราธิวาสล่ะ มีประชากรอยู่เท่าไหร่?

ตอบได้ ! ในบรรดา 4 จังหวัดนี้ ปรากฎว่า สงขลา เป็นจังหวัดที่มีประชากรอาศัยอยู่เยอะที่สุด โดยมีอยู่ 1,324,915 คน ชาย 647,820 คน หญิง 677,095 คน รองลงมาคือ นราธิวาส มี 711,517 คน แบ่งเป็นชาย 352,404 คน หญิง 359,113 คน

ต่อมาคือ ปัตตานี มี 637,806 คน ชาย 314,836 คน หญิง 322,970 คน และ ยะลา เป็นจังหวัดที่มีคนน้อยที่สุดในบรรดา 4 จังหวัดนี้ คือ 470,691 คน แยกเป็นชาย 234,166 คน หญิง 236,525 คน


วันอาทิตย์ที่ 27 มกราคม พ.ศ. 2551

Vanilla


Vanilla is a flavouring derived from orchids in the genus Vanilla native to Mexico. The name came from the Spanish word "vainilla", meaning "little pod".[1]

The Vanilla orchid
The main species harvested for vanillin is Vanilla planifolia. Although it is native to Mexico, it is now widely grown throughout the tropics. Madagascar is the world's largest producer. Additional sources include Vanilla pompona and Vanilla tahitiensis (grown in Tahiti), although the vanillin content of these species is much less than Vanilla planifolia[citation needed].

Vanilla grows as a vine, climbing up an existing tree, pole, or other support. It can be grown in a wood (on trees), in a plantation (on trees or poles), or in a "shader", in increasing orders of productivity. Left alone, it will grow as high as possible on the support, with few flowers. Every year, growers fold the higher parts of the plant downwards so that the plant stays at heights accessible by a standing human. This also greatly stimulates flowering.

The distinctively flavoured compounds are found in the fruit, which results from the pollination of the flower. One flower produces one fruit. Vanilla planifolia flowers are hermaphroditic: they carry both male (anther) and female (stigma) organs; however, to avoid self-pollenization, a membrane separates those organs. Such flowers may only be naturally pollinated by a specifically equipped bee found in Mexico. Growers have tried to bring this bee into other growing locales, to no avail. The only way to produce fruits is thus artificial pollination.

A simple and efficient artificial pollination method was introduced in 1841 by a 12-year-old slave named Edmond Albius on Réunion: a method still used today. Using a beveled sliver of bamboo,[2] an agricultural worker folds back the membrane separating the anther and the stigma, then presses the anther on the stigma. The flower is then self-pollinated, and will produce a fruit. The vanilla flower lasts about one day, sometimes less, thus growers have to inspect their plantations every day for open flowers, a labour-intensive task.

The fruit (a seed capsule), if left on the plant, will ripen and open at the end; it will then release the distinctive vanilla smell. The fruit contains tiny, flavourless seeds. In dishes prepared with whole natural vanilla, these seeds are recognizable as black specks.

Like other orchids' seeds, vanilla seed will not germinate without the presence of certain mycorrhizal fungi. Instead, growers reproduce the plant by cutting: they remove sections of the vine with six or more leaf nodes, a root opposite each leaf. The two lower leaves are removed, and this area is buried in loose soil at the base of a support. The remaining upper roots will cling to the support, and often grow down into the soil. Growth is rapid under good conditions.

History
The first to cultivate vanilla were the Totonac people, who inhabit the Mazantla Valley on the Gulf Coast of Mexico near present-day Vera Cruz. According to Totonaca mythology, the tropical orchid was born when Princess Xanat, forbidden by her father from marrying a mortal, fled to the forest with her lover. The lovers were captured and beheaded. Where their blood touched the ground, the vine of the tropical orchid grew.[3]

In the fifteenth century, Aztecs from the central highlands of Mexico conquered the Totonac, and the conquerors soon developed a taste for the vanilla bean. They named the bean tlilxochitl, or "black flower", after the mature bean, which shrivels and turns black shortly after it is picked. Whereas most tribes paid tribute to the Aztecs in the form of maize or gold, the Totonaca sent vanilla beans to the Aztec kings.

Vanilla was completely unknown in the Old World before Columbus. Spanish explorers who arrived on the Gulf Coast of Mexico in the early sixteenth century gave vanilla its name. The Spanish and Portuguese sailors and explorers brought vanilla into Africa and Asia in the 16th century. They called it vainilla, or "little pod", The word vanilla entered the English language in the 1754, when the botanist Philip Miller wrote about the genus in his Gardener’s Dictionary.[4]

Until the mid-19th century, Mexico was the chief producer of vanilla. In 1819, however, French entrepreneurs shipped vanilla beans to the Réunion and Mauritius islands with the hope of producing vanilla there. After Edmond Albius, a 12-year-old slave from Réunion Island, discovered how to pollinate the flowers quickly by hand, the pods began to thrive. Soon the tropical orchids were sent from Réunion Island to the Comoros Islands and Madagascar along with instructions for pollinating them. By 1898, Madagascar, Réunion, and the Comoros Islands produced 200 metric tons of vanilla beans, about 80 percent of world production.[5]

The market price of vanilla rose dramatically in the late 1970s, due to a typhoon. Prices stayed stable at this level through the early 1980s despite the pressure of recently introduced Indonesian vanilla. In the mid-1980s, the cartel that had controlled vanilla prices and distribution since its creation in 1930 disbanded. Prices dropped 70 percent over the next few years, to nearly US$20 per kilo. This changed, due to typhoon Huddah, which struck early in the year 2000. The typhoon, political instability, and poor weather in the third year drove vanilla prices to an astonishing US$500 per kilo in 2004, bringing new countries into the vanilla industry. A good crop, coupled with decreased demand caused by the production of imitation vanilla, have pushed the market price down to the $40 per kilo range in the middle of 2005.

Madagascar (mostly the fertile region of Sava) accounts for half of the global production of vanilla. Mexico, once the leading producer of natural vanilla with an annual 500 tons, produced only 10 tons of vanilla in 2006. An estimated 95% of “vanilla” products actually contain artificial vanillin, produced from lignin. [6]

วันพฤหัสบดีที่ 17 มกราคม พ.ศ. 2551

Parapluie



Un parapluie est une sorte de toit portatif pliant permettant de se protéger de la pluie. Les parasols et les ombrelles sont construits sur le même principe, mais ne sont pas forcément étanches et ne protègent généralement que du soleil

Conception
Le dispositif varie en taille et en forme, mais sa conception est fondamentalement la même : un mât (ou tige) central soutient des tiges articulées (les baleines) par l'intermédiaire d'un anneau coulissant. Lorsque l'anneau est en position basse, les baleines sont complètement aplaties le long du mât. Lorsque l'anneau est en position haute, les baleines sont déployées et tendent la toile tout autour du mât.

Le nombre de baleines varie de quatre (pour les parasols carrés utilisés sur les marchés de plein air) à huit ou dix en général pour les parapluies. Elles sont réparties à intervalles réguliers sur le pourtour du mât.

Sur les parapluies et les ombrelles, la tige centrale comporte une poignée à son extrémité inférieure, pour une meilleure prise en main.
L'utilisation des parasols se fait plutôt à poste fixe ; l'extrémité inférieure de leur mât est donc généralement conçue pour s'emboîter dans un support ou pour être plantée dans le sol, de manière qu'un coup de vent ne puisse l'emporter.


Parapluie
Vers 1730, un artisan parisien a l'idée de fabriquer des ombrelles en toile cirée pour se protéger de la pluie, le parapluie est né. Mais il y a eu plus tôt que cette date (voir cet article en anglais) Les Chinois l'ont inventé au IVe siècle et l'a introduit à l'Occident. Le manche télescopique est quand à lui attribué à l’Allemand Hans Haupt en 1930 ; même si dès 1705 le Français Jean Marius avait inventé un système pliant le parapluie en trois afin de le ranger dans une poche.[1]

En Inde et dans les pays du sud-est asiatique, les parapluies sont très utilisés en période de mousson. Tout un marché de la réparation des parapluies s'est constitué : des spécialistes réparent à peu de frais un parapluie retourné par le vent, augmentant ainsi la durée de vie d'un objet relativement fragile.

Il existe également des parapluies ultra-compacts, dont la tige est télescopique et dont les baleines peuvent se replier en deux. Leur déploiement est automatique : un mécanisme à ressort est libéré par une pression sur un simple bouton. Le ressort est retendu lors du repliement par l'utilisateur.

Il existe des parapluies pour enfants à la taille plus petite et aux motifs plus colorés.

Certains parapluies tempêtes utilisés dans le jeu de golf comportent un évent de toile maintenu par des sangles élastiques à leur sommet pour limiter la prise au vent et éviter leur retournement en cas de bourrasque.

วันจันทร์ที่ 14 มกราคม พ.ศ. 2551

Télévision

Le terme télévision regroupe l'ensemble des technologies, techniques et métiers destinés à produire, diffuser, recevoir des émissions ou films (fiction ou documentaire). La transmission, de ces émissions de télévision peut se faire par ondes radioélectriques ou par réseau câblé. Elles sont reçues et transcrites sur un poste récepteur appelé téléviseur (ou, par abus de langage, télévision), au fur et à mesure de la réception.
Les premières étapes de la vision à distance par l'électricité ont été les télectroscopes. La télévision, telle qu'on la connaît aujourd'hui, est également tributaire d'un réseau économique (publicité, redevance), politique et culturel (langues nationales ou régionales, genres et formats).

วันอังคารที่ 8 มกราคม พ.ศ. 2551

Montre (horlogerie)


Une montre est une horloge portative. Au XXIe siècle siècle, la montre se porte généralement au poignet, mais les premières montres étaient portées dans une poche de gilet, de veste (ou veston), ou bien encore attachées à l'extrémité d'un court ruban fixé en haut de la culotte ou du pantalon.
Une horloge ne peut fonctionner que dans une seule position, au contraire de la montre qui fonctionne dans toutes les positions. De ce fait, deux éléments techniques lui sont indispensables :
le ressort moteur, alors qu'une horloge peut fonctionner avec des poids dont la descente actionne le rouage ;
le coq, qui est le point de pivotement supérieur du balancier, alors que l'horloge peut fonctionner avec un pendule.

วันอาทิตย์ที่ 6 มกราคม พ.ศ. 2551

Soleil



Le Soleil (Sol en latin, Helios ou Ήλιος en grec) est l'étoile du système solaire, notre système planétaire. Autour de lui gravitent la Terre, sept autres planètes, trois planètes naines, des astéroïdes, des météoroïdes, des comètes et de la poussière interstellaire. Le Soleil représente à lui seul 99,86 % de la masse du système solaire ainsi constitué (Jupiter représente presque tout le reste). L'énergie solaire, transmise par ensoleillement, rend possible la vie sur Terre par apport de chaleur et de lumière, permettant la présence d'eau à l'état liquide et la photosynthèse des végétaux. Le rayonnement du Soleil est aussi responsable des climats et de la plupart des phénomènes météorologiques observés sur notre planète.
La densité thermique à la surface de la Terre est à 99,98% d'origine solaire. Les 0,02% restants proviennent de la chaleur issue de la Terre elle-même.

Le Soleil fait partie d'une galaxie constituée de matière interstellaire et d'environ deux cents milliards d'étoiles : la Voie lactée. Il se situe à 15 parsecs du plan équatorial du disque, et est distant de 8 600 parsecs (environ 25 000 années-lumière) du centre galactique.

Le demi-grand axe de l'orbite de la Terre autour du Soleil, 149 597 870 km, est la définition originale de l'unité astronomique (ua).

Le symbole astronomique et astrologique du Soleil est un cercle avec un point en son centre : .


Présentation générale
Le Soleil est une étoile naine qui se compose de 74 % d'hydrogène, de 25 % d'hélium et d'une fraction d'éléments plus lourds. Le Soleil est de type spectral G2–V. « G2 » signifie qu'il est plus chaud (5 770 kelvins en surface environ) et plus brillant que la moyenne, avec une couleur jaune tirant sur le blanc. Son spectre renferme des bandes de métaux ionisés et neutres, ainsi que de faibles bandes d'hydrogène. Le suffixe « V » (ou "classe de luminosité") indique qu'il évolue actuellement, comme la majorité des étoiles, sur la séquence principale du diagramme de Hertzsprung-Russell : il tire son énergie de réactions de fusion nucléaire qui transforment, dans son noyau, l'hydrogène en hélium, et se trouve dans un état d'équilibre hydrostatique, ne subissant ni contraction, ni dilatation continuelles. Il existe dans notre galaxie plus de cent millions d'étoiles de type spectral identique, ce qui fait du Soleil une étoile somme toute assez banale. Bien qu'il soit en fait plus brillant que 85 % des étoiles de la galaxie, qui sont en majorité des naines rouges[2].

Le Soleil gravite autour du centre de la Voie lactée dont il est distant d'environ 25 à 28 000 années-lumière. Sa période de révolution galactique est d'environ 220 millions d'années, et sa vitesse de 217 km∙s-1, équivalent à une année-lumière tous les 1400 ans (environ), et une unité astronomique tous les 8 jours[3].

Dans cette révolution galactique, le Soleil, comme les autres étoiles du disque, a un mouvement oscillant autour du plan galactique : l'orbite galactique solaire présente des ondulations sinusoïdales perpendiculaires à son plan de révolution. Le Soleil traverserait ce plan tous les 30 millions d'années environ, d'un côté puis de l'autre — sens Nord-Sud galactique, puis inversement — et s'en éloignerait au maximum de 230 années-lumière environ, tout en restant dans le disque galactique. La masse du disque galactique attirant les étoiles qui auraient un plan de révolution différent.

Le Soleil tourne également sur lui-même, avec une période de 27 jours terrestres environ. En réalité, n'étant pas un objet solide, il subit une rotation différentielle : il tourne plus rapidement à l'équateur (25 jours) qu'aux pôles (35 jours). Le Soleil est également en rotation autour du barycentre du système solaire, ce dernier se situant à près d'un rayon solaire du centre de l'étoile, en raison principalement de la masse colossale de Jupiter (environ un millième de la masse solaire).

Histoire naturelle du Soleil
Le Soleil est une étoile de Population I actuellement âgée de 4,6 milliards d'années environ, soit à peu près la moitié de son chemin sur la séquence principale[4]. On admet généralement qu'il s'est formé sous l'effet des ondes de choc produites par une supernova.

Dans son état actuel, le cœur du Soleil transforme chaque seconde plus de quatre millions de tonnes de matière (de masse) en énergie qui est transmise aux couches supérieures de l'astre et émise dans l'espace sous forme de rayonnement électromagnétique (lumière, rayonnement solaire) et de flux de particules (vent solaire). Dans les cinq milliards d'années à venir, le Soleil épuisera petit à petit ses réserves d'hydrogène ; sa brillance augmentera d'environ 7 % par milliard d'années. Lorsqu'il sera âgé d'environ 10 milliards d'années, l'équilibre hydrostatique sera rompu. Le noyau commencera à se contracter et à se réchauffer tandis que les couches superficielles, dilatées par le flux thermique et ainsi partiellement libérées de l'effet gravitationnel, seront progressivement repoussées : le Soleil se dilatera et se transformera en géante rouge. Au terme de ce processus, le diamètre du Soleil sera environ cent fois supérieur à l'actuel ; il dépassera l'orbite de Mercure et de Vénus. La Terre, si elle subsiste encore, ne sera plus qu'un désert calciné.

La masse du Soleil n'est pas suffisante pour qu'il explose en supernova. Environ 250 millions d'années plus tard, lorsque le cœur atteindra quelque 100 millions de kelvin, le noyau s'effondrera sur lui-même tandis que les couches superficielles seront éjectées dans l'espace et donneront naissance à une nébuleuse planétaire. Les restes de l'étoile formeront alors une naine blanche qui pourra survivre encore plusieurs milliards d'années au cours desquelles elle se refroidira avant de s'éteindre définitivement. Ce scénario est caractéristique des étoiles de masse faible à moyenne.